« Cette affaire rappelle que le cloud a ses faiblesses. Déjà, chez soi, un disque dur qui lâche et c’est la catastrophe, si l’on n’a pas fait de sauvegarde. Idem pour ces grandes plateformes de réseaux sociaux. Imaginez si Facebook ou YouTube perdait toutes nos données, toutes nos vidéos. En principe, il y a des systèmes de sauvegarde, avec des redondances de serveurs. Mais on s’aperçoit que dès qu’il y a un petit relâchement, souvent pour des raisons économiques, tout peut disparaître d’un seul coup. » Jérôme Colombain.